Lilith no niwA
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Lilith no niwA

HyPeReStHeSiA pSyChIcA sExUaLiS
 
AccueilPortailRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le deal à ne pas rater :
Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : où l’acheter ?
Voir le deal

 

 L'histoire enivrante de l'absence

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Saumon Octogonal
Duc des Enfers
Duc des Enfers
Saumon Octogonal


Messages : 83
Date d'inscription : 29/08/2007
Age : 37
Localisation : Helvetie

L'histoire enivrante de l'absence Empty
MessageSujet: L'histoire enivrante de l'absence   L'histoire enivrante de l'absence Icon_minitimeJeu 30 Aoû - 21:56

.L’histoire enivrante de l’absence.

C’était par une composition littéraire que l’architecte voulu arborer son patrimoine. En effet cette observation qui lui était venue à l’étalage de carburateur l’avait complètement racheté et rayonné. L’autre violence avait donc pas de but que pour sa verbalisation, ce qui empara soudain notre mésaventure. En l’an 345 survint l’accablante démonstration de l’illusoire. Avec donc plus de lettres et néanmoins plus de force . L’arbitre n’était quant à lui guère en vacances puisque là est le début de mon histoire. Cette histoire qui n’avait que pour but de ne pas en avoir, c’est dans une chirurgie qu’elle était née.
Un beau matin d’élucubrations pyrotechniques la vaseline purulent de sons. Néanmoins Jaques prît cela à la légère et ne fit pas son salut guerroyant. L’accablante vérité était proche. L’accablante manufacture présentait plus un chien que l’ayant dompté, car il en suit qu’hier, aujourd’hui et demain cela se reproduira pour la deuxième fois. Antivol dans son accordéon il prit la route et tourna maintes fois. Arrivé à sa chambre il virevolta son aquarium qui manquait de charme…
« Oh pour donc laisse toi manger sa va faire chandelle ! » s’écriat-il
A vos éternuements majesté, c’est de cette parole absurde que l’automate préparait son jus de tomate. Cela conclu donc le premier soubresaut car étant donné qu’il fut, il est et il sera .
Dans son admission du carnaval il pria la soudaine et féroce femme . C’était par un état affable qu’elle gémit son accouchement. La stratosphère conjuguais donc l’envie être aimé. Par le biais de ce musicien chauve il prit la route pour manger ses gencives de porc. L’autre prit le chemin de la position lactée et retour à son père, qui admettons n’avait plus tous ses hôtels en chambre. Pourquoi alors pensait-il écrire ce livre ? Il est dore et déjà prévu que la pharmacie mine le miroir majestueux. L’aspiration maléfique n’a que de sentiments pour cette lourde tâche, ou alors celui ci devenait homosexuel. « Attrapons le ! Attrapons le ! »
Le coude était bien là. Prenant ses rêves pour du charbon il revu sa fille morte pour un dernier jus de tomate. En prononçant ces mots l’excitation arrivait au trou du début pour un faiseur de bile non rémunérant. Avec plus d’entrain . La mort n’est pas celle qui arrivait à chanter le chameau du joueur belge, hier est mort …partition métaphorique ou jubilation étatique font bon ménage, arrivant à voir sa meule, le cratère lui apparu. « C’est donc cela qui sale ma salle de malle à dalles ? » Historien en ruse fixait sa balise lacrymogène. L’animal plongeait dans son costume et arrivé pour son gratin l’armée l’apprit à malaxer son tiroir. Spartiate ou fulgurant il actionna sa valse. L’activiste révolu lavait sa brillante idée. Non content de l’autre arrêt vendu pour cette histoire d’amour, lui pariait l’inverse. Pourquoi pense t’il chauffer l’après midi déjà convaincu de sa baliste vrombissante. Elle ne le remarquera jamais.


Pendant ce temps la, luisait l’arbre frissonnant de compassion pour la conservation mineur. Pourtant devait-il changer la face pour qui il avait éprouvé tant d’idiotie masochiste . Cela resterait toujours mijoté pour le groupuscule. Le cheval volait par dessous la pensée attractive du politicien famélique, pourquoi n’y avait-il pas pensé plus tôt ? Pourquoi n’y avait-il pas de frigo ? Cette mésaventure il se la trompa. Salade verte menaçante d’igloos extérieurs n’octroyait que peu de foudre. Il ira plus tôt dans sa captivité calcinant l’age ferroviaire. Foudroyant sa bonne sœur d’attraction géographique . Cela étant dit il n’octroyait guère d’illusions prépondérantes à l’action pseudo-révolutionnaire qui l’accompagnait. C’était sans compter l’autre pulsion qui l’avait amené à choisir cette valise au ketchup ! Non mesdames et mademoiselles, vous prendrez conscience de cette absence. L’autre jour Enrick voltigeait l’arc en ciel au dessus du grand Danube bleu. Esotérique ? Oui et non, suivant l’accomplissement du voyage spectral cette vision pourrait être malaxée de son propre vouloir. Il était donc dans l’impossibilité d’arracher ce mur à la duchesse qui l’aimait comme l’ours aime le miel jaune dans la rosée du matin chaleureux. Faire du tir à l’arc relève de la plus pure mésalliance peaufinée dans sa chambre, c’était la vision péjorative de l’église qui s’octroyait le droit de faire des alliances pour un biscuit mal photographié . Nul actrices arborait cette Rimbaldienne idéologie qui n’eu sans nul doute réduis à néant le méandre de sa santé pulmonaire gauche ! Or donc André se maria à Jaques, tous deux n’étaient guère sans champs. Non et encore ce n’est rien de le dire avec des moufles, il pourrait être tard. Car l’affirmation orthogonale perdit de sa valeur en Corée de l’Ouest. André priait donc par terre avec sa Renault Espace qui ne manquait pas d’air.


Le lendemain du Mardi fut donc cette découverte affublée de melon. Oui ou non pourvu que cela soit nombril. Ou alors rien du tout dans la roue molle pensant victorieusement l’architecte. Et voilà arrivé les verbes et le temps qui eux réussirent à empêcher le gauche. Un temps pluvieux couvrait la plaine pleine de peine empennée d’aines de gaines pleines de saines reines en rotation du sphincter. André meurt pas pour du beurre. Ajoutons un demi gramme de beurre, Cette architecture néo-gothique manque de néons de joncs. Cela fait André reprit court route à son chapelet, celui-ci entraînant le marbre noir du tour de Slovénie. Tarte aux myrtilles et meuble goudronné font bon ménage, tout comme la femme de chambre entraînée dans cet élan Suédois très convenant dans les soirées mondaines pleine de monde mondain mondialisé et médiatisé. Il faudrait raser la moustache de tout ces aristocrate, ça fera des pulls pour les plus démunis ! Mouette, pirouette, bobinette la fin était ressentie de cette catégorie endormie. Ce n’est pas rien que de croire André quand il s’agit d’énumération scientologique nonchalante. « Bref » cria Joseline dans la vague idée que quelqu’un l’entendrait depuis son placard dérivant au cours de ce ruisseau. Mort s’ensuit. André reprit son chemin éternel et terminé d’avance.


Soubresaut. Lune de miel. Jaque Daniel. Mort soudaine, mort certaine, soutasse de porcelaine. La route est longue lorsque le chemin est long, ou alors court mais si l’on ne possède que de petites jambes comme moribond. L’autre professionnel du chemin de fer attrapa cette occasion pleine de fallacieux personnages. N’étant pas bien sur de ce qui lui arrivait, l’espèce paraissait miraculée de par son ignorance. Non sans raisons bien évidemment mais sans y consacrer même le quart du pain de mie noyé. L’étrange façon se produisit enfin, quand ce dernier avait en réalité prit la décision de la quitter. Cette rhétorique là il la tenait de son mausolée prieuré défunt l’orange du samedi. Alors quand je lui tint ce discours mielleux, pris de panique évidemment, je lui donnait une main. Il ne se contenta pas de la jouer pour sa vie, mais pour la sienne. Œuvre déshonorée que voilà, pourquoi ne pas comparaître pleinement de son agissement ? Se serait-il conduit par mégarde vis-à vit d’outremer …


Prologue d’un conte généreux


Cette partie-ci n’aura pour but que d’expliquer cette symbolique si mal utilisée. Non sans avoir la prétention de l’expliquer mais de la voir à l’ouvrage, elle ne partirait pas comme cela sans raisons. La logique de cette démarche ne serait sans aucuns doute d’expier les mystères de la petite fille décomposée, quelque soit l’autre soir où cela pu arriver, il faudra lui manger le bateau en mousse orange. Ce dernier n’étant pas apte à remplir toute ses fonctions, notamment celle d’irriguer le fromage. Par principe son métabolisme ne va pas se contenter d’arrimer la vascularité de celle-ci, mais d’asseoir sa couleur. En période de fête les gens font des économies sur leur parrainage misanthrope rien que pour assouvir l’immuabilité de cette envie de supplanter son prochain. Cette hypothèse laissa Monsieur Jean dans son fauteuil fort perplexe, il ne prit point cela pour de l’humour ni du thé à la vanille , car non merci, il n’en voulait pas. C’est cette fiabilité ostentatoire qui lui fit comprendre pourquoi il n’en voulait pas, qui n’en voudrait pas par temps de cataclysme populaire ouvertement déstabilisé ? Lui, oui n’est-il pas étrange d’ouvrir les yeux d’aveugles gens. Ou de le faire avouer leur empathie envers l’habitant Indous sous une ère Britannique. Il arriva donc à pied par la Chine de son propre vouloir. Ceci ayant de formidable que personne ne l’en lui ait appris la technique. Monsieur Jean étant souple de nature, se glisser par n’importe quel orifice lui paraissait chose facile. Arrêtons ici les scabreuses allusions de Monsieur Jean, et reprenons l’explication symbolique. Le symbole n’étant pas clairement définit, car celui-ci non content de n’être que fabulation dans tout esprit qui se compose, est pour le reste invisible. D’où l’utilité de devoir l’expliquer aux travers de ces idées qui suivent. Si une personne, admettons le, mouffle son chien en été, il n’aura pas l’air con. Puis l’extrapolation du pneu mobile se transfigurerait dans cette pinacle fort aise de son statut, et sans avoir à prononcer la falaise. J’ouvrirait bien les yeux de cette fatigue que trop pesante, mais le devoir doit être accomplit en temps et en heure. Ce n’est pas sous quelconque « fabulatoires » ou illusoires hypothèses, mais bel et bien sur la surface tant irrégulière de la coupe d’une tranche de saumon Norvégien. Cette ondulation comparable à la sismicité des couches tectoniques composant notre tout en réalité est en fait la projection d’un univers dans un autre. La taille de celui-ci ne faisant pas foi, prenons donc quelque chose à notre portée. Le saumon est ce qu’Excalibur est au roi Arthur, dans l’idée qu’il nous est indispensable pour accomplir notre quête. Quête en perpétuelle émanation idéologique.

Ne te restreins pas à cela. Ouvre ton tiroir et hache la menue. Cette garce ne mérite que le puzzle, pour avoir compatit de son ignorance. Jour ou nuit, la musique est la même. Arrêtes de souffrir dans ton déguisement de saltimbanque grotesque
Revenir en haut Aller en bas
http://www.fotolog.com/genou_moisi/
Countess Grishnack
Grand inquisiteur
Grand inquisiteur
Countess Grishnack


Messages : 74
Date d'inscription : 28/08/2007
Age : 35
Localisation : la mèrre

L'histoire enivrante de l'absence Empty
MessageSujet: Re: L'histoire enivrante de l'absence   L'histoire enivrante de l'absence Icon_minitimeJeu 30 Aoû - 22:40

Elle est jolie ton histoire jocolor
Jvais l'adapter en film flower
Revenir en haut Aller en bas
 
L'histoire enivrante de l'absence
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Lilith no niwA :: Bibliothèque :: Vos écrits....-
Sauter vers: